Préparer son premier marathon plat, quand on habite un pays qui monte et qui descend, c'est... plat. Eh oui, lorsque j'ai couru mon premier marathon il y a un an, en mode "quelques centaines de mètres de dénivelé" (600 selon ma montre, 700 selon les organisateurs), tout le monde m'a dit: "avec un parcours pareil, tu verras, le prochain ça sera du gâteau". Mis à part que j'ai du mal à visualiser un marathon sous forme de gâteau (mais ça c'est personnel), je suis donc partie confiante pour m'entraîner en vue de mon prochain marathon de printemps... à plat. Or le plat, c'est comme tout, à bien y réfléchir: une bête question d'habitude. C'est facile... à condition d'être habitué à courir au plat. Et votre servante, pour tout dire, du plat, elle n'en a pas fait beaucoup. Disons qu'il y avait toujours un bout de pente au milieu de mes circuits plats... Et la pente, c'est rigolo! Il faut gérer/doser l'effort à la...