Quant ça ne veut pas... un semi à grand'peine
(Petit compte rendu d'une course datant de... début juin! Mais comme j'ai fini par l'écrire et je vous le livre) Pourtant je m'en réjouissais de ce semi marathon, malgré l'annonce d'une météo exécrable. Et malgré d'autres signes que je n'ai pas su écouter... comme la sensation de se réveiller chaque matin plus fatiguée... J'avais fait "tout juste" ou presque, mettant la pédale douce sur le sport (et sur l'intensité) la semaine avant. Bon d'accord, participer à un pot de départ et me rentrer à minuit et demi la veille de la course, ce n'était pas non plus une bonne idée. Le jour J, donc, j'émerge avant le réveil. Mon horloge biologique sonne 6h00, rien à faire. Je suis tentée de me rendormir, mais pas le temps pour une phase complète de sommeil. Plus tard dans la matinée, lorsque j'apprendrai que je suis arrivée en avance pour rien, car pour les préinscrits le dossard se retire en début d'après-midi au ...